Une fois les chapitres égrenés jusqu’à la fin, en passant par le renard, le canard, la vache et deux spécimens mâles que l’auteure côtoie à son domicile, on reviendra au début, afin de découvrir ce qu’est l’apoptose – l’obsolescence programmée de nos cellules. Van Acker cite Marie Gevers sur Colette, …
Source: Ecureuil, araignée, martinet : au bonheur des bêtes